3. BANGKOK (pdj-déj)
Une petite marche à travers le quartier historique de Bangkok, entre un canal et de vieilles échoppes colorées, mène au sommet du Wat Saket, connu aussi comme le temple de la Montagne dOr. On y découvre comment les Thaïlandais vivent le bouddhisme au quotidien : offrandes et baguettes divinatoires. La vue, au sommet, y est surprenante : dun côté la vieille ville et ses maisons basses, de lautre, la mégapole moderne et ses innombrables grattes ciel. Avant de partir, ne pas oublier de faire un vu en frappant trois fois le gong.
Un trajet en tuk-tuk et cest le cur de Yaowarat, lartère principale du quartier chinois de Bangkok, où tout a commencé en 1782, date de lextension du quartier historique de Rattanakosin.
Au menu du déjeuner : de délicieuses bouchées vapeur, les dim sum, que lon déguste parmi les Thaïlandais descendant des Chinois Hokkien, Teochiew et Hakka.
Ce sont dans les ruelles dun autre temps, au milieu des échoppes, des temples et des restaurants de rue quil faut se perdre pour en apprécier tout le charme. Leffervescence de ce quartier est fascinante, entre marchands dor, vendeurs de tissus et étals de fruits et légumes.
Apres un passage au marché aux fleurs, avec ses explosions de couleurs et de senteurs, embarquement sur les klongs (canaux). Cest là que se dévoile le mieux ce quétait Bangkok à son origine : une ville de maisons en bois bâties sur pilotis et bordant un dédale de canaux : Bangkok était à lépoque surnommée la Venise de lest.
Quel meilleur moyen de plonger dans la vie trépidante de la Cité des Anges que demprunter les transports en commun comme le font chaque jours des millions de Bangkokois ? Cest donc en bateau-taxi sur la rivière des rois que se fait le retour à lhôtel, dîner libre.